C'est pas toujours la fête
- michaelpfister54
- 24 nov.
- 2 min de lecture

La fin d’année approche, et avec elle son lot de repas de fête : de famille, d’amis, de travail.
Bref ! Autant de repas que de raison d’être stressé.
Cela génère une énorme charge mentale - les préparatifs, les cadeaux - qu’il est parfois difficile à gérer en amont.
C’est pas de tout ça que j’ai envie de parler aujourd’hui mais plutôt de ce qui se passe au moment T, celui auquel on est tous assis autour de la table.
Ce moment où on pourrait croire que le stress est derrière, parce que « on y est », mais non. Les repas de fin d’année, sous les paillettes de Noël, cachent un moment idéal pour d’éventuels règlements de compte, que ça soit en famille ou entre amis/collègues, les petits pics des uns et des autres, des questions gênantes sur les vies privées, des besoins de rétrospectives sur l’années qui vient de s’écouler, sur les plans de l’année à venir, les projets de vie.
Finalement, n’est-ce pas le moment idéal pour que tous nos maux refassent surface et viennent à être heurtés par les uns et les autres ?
On peut se retrouver démuni devant ce genre de situation et ne pas savoir quelle posture adopter - la seule chose qu’on aurait envie de faire, c’est de glisser de sa chaise et disparaître sous la table, se faufiler jusqu’à la porte et prendre ses jambes à son cou pour fuir.
Mais en fait, fuir quoi ?
La peur du jugement, parce que notre année a été carrément pourrie par rapport à celle de notre voisin de table ?
La peur de la critique, parce qu’on a un projet un peu « farfelu » à leurs yeux mais auquel nous on a envie de croire ?
La peur du regard des autres, parce qu’on a décidé de mettre cette tenue qui nous a tellement fait de l’oeil dans la vitrine chaque fois qu’on passait devant et qui est un peu décalée de la personne qu’ils s’imaginaient qu’on était ?
Je vous laisse continuer cette liste, chacun ses histoires, ses vécus (et ses mauvais souvenirs de repas en grand nombre).
Et si aujourd’hui, on faisait autrement ? Si on arrêtait de stresser rien qu’en pensant à toutes ces occasions qui vont arriver de vouloir partir ? Et si on arrêtait tout simplement de fuir et qu’on commençait à :
Avouer que oui, tout ne s’est pas passé comme prévu cette année et que c’est OK comme ça !
Accepter que nos choix ne plairont pas à tout le monde et les faire quand même !
Comprendre qu’on aura beau tout faire pour plaire à tout le monde, il y aura toujours quelqu’un pour critiquer. Au passage, je vous rappelle que plaire à tout le monde veut aussi dire plaire à n’importe qui !
Il est temps d’oser être soi, à tout prix !
Vous avez besoin d’être accompagné pour faire ce pas ? La kinésiologie peut vous y aider.
A tout bientôt, ici ou ailleurs !
Avec tout mon amour,
Aude ✨





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